Paroles – Adamo – Le village
Salvatore Adamo
LE VILLAGE
Paroles et musique: Salvatore Adamo Il y avait un village tranquille
Et dans ses rues des enfants qui jouaient
Dans les bistrots les vieillards volubiles
Se souvenaient de tout et racontaient
Il y avait la paisible pagaille
Des gens venus de tous les horizons
Même s'ils vivaient parfois... vaille que vaille
Ils partageaient le vin et les chansons
On chantait pour les semailles
On chantait pour la moisson
On fêtait les épousailles
L'amour avait sa saison
N'était–ce qu'une illusion?
Un jour, les hommes au gré de leur superbe
Ont avoué d'étranges nostalgies
Chacun son Dieu, son roi, chacun son verbe
Chacun son sang, son rang, sa mère–patrie
Et le village fut un champ de bataille
Et la folie dirigeait ses armées
On le saigna... retourna ses entrailles
Et dans ses rues les enfants sont tombés
On oublia les semailles
On oublia la moisson
Oubliées les épousailles
La haine avait sa saison
La mort a toujours raison
Dans le village les maisons sont désertes
Des chiens errants attendent les absents
Ils sont ailleurs... où l'herbe est bien moins verte
Ou nulle part... sont–ils au moins vivants?
J'éteins la télévision
LE VILLAGE
Paroles et musique: Salvatore Adamo Il y avait un village tranquille
Et dans ses rues des enfants qui jouaient
Dans les bistrots les vieillards volubiles
Se souvenaient de tout et racontaient
Il y avait la paisible pagaille
Des gens venus de tous les horizons
Même s'ils vivaient parfois... vaille que vaille
Ils partageaient le vin et les chansons
On chantait pour les semailles
On chantait pour la moisson
On fêtait les épousailles
L'amour avait sa saison
N'était–ce qu'une illusion?
Un jour, les hommes au gré de leur superbe
Ont avoué d'étranges nostalgies
Chacun son Dieu, son roi, chacun son verbe
Chacun son sang, son rang, sa mère–patrie
Et le village fut un champ de bataille
Et la folie dirigeait ses armées
On le saigna... retourna ses entrailles
Et dans ses rues les enfants sont tombés
On oublia les semailles
On oublia la moisson
Oubliées les épousailles
La haine avait sa saison
La mort a toujours raison
Dans le village les maisons sont désertes
Des chiens errants attendent les absents
Ils sont ailleurs... où l'herbe est bien moins verte
Ou nulle part... sont–ils au moins vivants?
J'éteins la télévision