Paroles – Adamo – Tous les bancs sont mouillés
Salvatore Adamo
TOUS LES BANCS SONT MOUILLÉS
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Tous les bancs sont mouillés, les arbres sont rouillés, aies pitié de moi
Je n'ai même pas de chapeau
Je suis trempé jusqu'au os
Je suis trempé jusqu'au coeur
Et je t'avoue que j'ai peur
De couler avec mes fleurs
Pas étonnant qu'un crapaud
M'ait parlé dans son argot
Il avait l'air très pressé
Je crois qu'il ma demandé
Si son bus était passé
Je ne sais pas lui dis–je
En jetant les tiges
De mes fleurs
Qui perdaient leur couleur
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Et mes souliers prennent l'eau
Je serai bientôt ruisseau
Je serai bientôt rivière
Et quand je serai la mer
Je vais noyer l'univers
Tu ne te dépêches pas
Tu ne me trouveras pas
Me laisseras–tu vraiment
Me perdre dans l'océan
Sans même une brosse à dent
Tu viendras me dis–je
En ramassant les tiges
De mes fleurs
Qui retrouvaient leur couleur
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Ne parlons plus de malheur
Je te donnes encore une heure
Pour te souvenir de moi
Je suis cela qui parfois
Se réveillait dans tes bras
Tu ne viens pas mais au moins
Je ne mourrai pas de faim
Avec tous les petits lapins
Qui grouillent dans mon jardin
Tu m'en a posé cent vingt
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Tous les bancs sont mouillés les arbres sont rouillés, aies pitié de moi
TOUS LES BANCS SONT MOUILLÉS
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Tous les bancs sont mouillés, les arbres sont rouillés, aies pitié de moi
Je n'ai même pas de chapeau
Je suis trempé jusqu'au os
Je suis trempé jusqu'au coeur
Et je t'avoue que j'ai peur
De couler avec mes fleurs
Pas étonnant qu'un crapaud
M'ait parlé dans son argot
Il avait l'air très pressé
Je crois qu'il ma demandé
Si son bus était passé
Je ne sais pas lui dis–je
En jetant les tiges
De mes fleurs
Qui perdaient leur couleur
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Et mes souliers prennent l'eau
Je serai bientôt ruisseau
Je serai bientôt rivière
Et quand je serai la mer
Je vais noyer l'univers
Tu ne te dépêches pas
Tu ne me trouveras pas
Me laisseras–tu vraiment
Me perdre dans l'océan
Sans même une brosse à dent
Tu viendras me dis–je
En ramassant les tiges
De mes fleurs
Qui retrouvaient leur couleur
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Ne parlons plus de malheur
Je te donnes encore une heure
Pour te souvenir de moi
Je suis cela qui parfois
Se réveillait dans tes bras
Tu ne viens pas mais au moins
Je ne mourrai pas de faim
Avec tous les petits lapins
Qui grouillent dans mon jardin
Tu m'en a posé cent vingt
On ne peut plus s'asseoir tous les bancs sont mouillés, dépêches–toi
Tous les bancs sont mouillés les arbres sont rouillés, aies pitié de moi