Paroles – Art Mengo – Le courant charrie
Michel Art Mengo
LE COURANT CHARRIE
Paroles: P. Guirao, musique: A. Mengo Le courant charrie d'anciens souvenirs
D'anciens paradis, laissons–les partir
Tu étais trop belle, pour faire mes printemps,
Tu étais trop belle
Le pont des soupirs, n'a plus rien à dire
Car tu m'as volé mon coeur fatigué
Comme les hirondelles, tu aimais le vent,
Comme les hirondelles
Mes mains se souviennent de nuits sans retour
Les mots me reviennent à pas de velours
Le ciel est en pluie de larmes fragiles
De ton bleu tranquille, du temps qui s'enfuit
Je n'ai plus d'envie, je n'ai plus d'amour
Qu'un débris de vie qui compte ses jours
Comme les hirondelles, tu aimais le vent,
Comme les hirondelles
Mes mains se souviennent de nuits sans retour
Les mots me reviennent à pas de velours
Le ciel est en pluie de larmes fragiles
De ton bleu tranquille, du temps qui s'enfuit
Sur les chemins gris, les oiseaux du sud
Te tiennent compagnie dans ta solitude
Tu étais trop belle, pour faire mes printemps,
Comme les hirondelles, tu aimais le vent
Tu étais trop belle, pour faire mes printemps,
Comme les hirondelles, tu aimais le vent.
LE COURANT CHARRIE
Paroles: P. Guirao, musique: A. Mengo Le courant charrie d'anciens souvenirs
D'anciens paradis, laissons–les partir
Tu étais trop belle, pour faire mes printemps,
Tu étais trop belle
Le pont des soupirs, n'a plus rien à dire
Car tu m'as volé mon coeur fatigué
Comme les hirondelles, tu aimais le vent,
Comme les hirondelles
Mes mains se souviennent de nuits sans retour
Les mots me reviennent à pas de velours
Le ciel est en pluie de larmes fragiles
De ton bleu tranquille, du temps qui s'enfuit
Je n'ai plus d'envie, je n'ai plus d'amour
Qu'un débris de vie qui compte ses jours
Comme les hirondelles, tu aimais le vent,
Comme les hirondelles
Mes mains se souviennent de nuits sans retour
Les mots me reviennent à pas de velours
Le ciel est en pluie de larmes fragiles
De ton bleu tranquille, du temps qui s'enfuit
Sur les chemins gris, les oiseaux du sud
Te tiennent compagnie dans ta solitude
Tu étais trop belle, pour faire mes printemps,
Comme les hirondelles, tu aimais le vent
Tu étais trop belle, pour faire mes printemps,
Comme les hirondelles, tu aimais le vent.