Paroles – Aznavour – Les vertes années
Charles Aznavour
LES VERTES ANNÉES
Nous étions tous les deux
Étendus sur la Lande
Tu regardais les cieux
Moi je te contemplais
Le roux de tes cheveux
Dénoués sur La lande
Sur le vert de l'Irlande
Était vague de feu
De nos années vertes
Qui verrouillaient l'enfance
Dont je n'ai malgré moi
Jamais rien oublié
De nos vertes années
En as–tu souvenance
Viennent–elles parfois
Tendrement éclairer
Un coin de tes pensées
Nos années vertes
A la brise d'été
Tu offrais ton visage
Et tu semblait rêver
Sans savoir qu'en mon coeur
Venait de se lever
La tempête et l'orage
Car je demeurais sage
Pudique et bouleversé
De nos années vertes
Qui s'ouvraient sur la vie
Et qui vivent à feu doux
Au fil de mes pensées
De nos vertes années
J'en ai la nostalgie
Que reviennent pour nous
Le temps d'un seul été
Du fond de leur passé
Nos vertes années
LES VERTES ANNÉES
Nous étions tous les deux
Étendus sur la Lande
Tu regardais les cieux
Moi je te contemplais
Le roux de tes cheveux
Dénoués sur La lande
Sur le vert de l'Irlande
Était vague de feu
De nos années vertes
Qui verrouillaient l'enfance
Dont je n'ai malgré moi
Jamais rien oublié
De nos vertes années
En as–tu souvenance
Viennent–elles parfois
Tendrement éclairer
Un coin de tes pensées
Nos années vertes
A la brise d'été
Tu offrais ton visage
Et tu semblait rêver
Sans savoir qu'en mon coeur
Venait de se lever
La tempête et l'orage
Car je demeurais sage
Pudique et bouleversé
De nos années vertes
Qui s'ouvraient sur la vie
Et qui vivent à feu doux
Au fil de mes pensées
De nos vertes années
J'en ai la nostalgie
Que reviennent pour nous
Le temps d'un seul été
Du fond de leur passé
Nos vertes années