Paroles – Dassin – La bande à Bonnot
Joe Dassin
LA BANDE À BONNOT
Paroles: Jean–Michel Rivat et Frank Thomas, musique: Joe Dassin À la Société Générale
Une auto démarra, et dans la terreur
La bande à Bonnot mit les voiles,
Emportant la sacoche du garçon payeur
Dans la De–Dion–Bouton qui cachait les voleurs –
Octave comptait les gros billets et les valeurs,
Avec Raymond–la–Science, les bandits en auto –
C'était la bande à Bonnot.
Les banques criaient "Misérables"
Quand s'éloignait le bruit du puissant moteur...
Comment rattraper les coupables
Qui fuyaient à toute allure, à trente–cinq à l'heure?
Sur les routes de France, hirondelles et gendarmes –
Étaient à leurs trousses, étaient nuit et jour en alarme,
En casquettes à visière, les bandits en auto –
C'était la bande à Bonnot.
Mais Bonnot rêvait des palaces et du ciel d'azur de Monte–Carlo.
En fait il voulait vite se ranger des voitures...
Mais un beau matin la police
Encercla la maison de Jules Bonnot
À Choisy avec ses complices,
Il prenait dans sa chambre un peu de repos...
Tout Paris arriva, à pied, en tramway, en train –
Avec des fusils, des pistolets et des gourdins,
Hurlant des balcons, les bandits en auto –
C'était la bande à Bonnot.
Et menottes aux mains –
Tragique destin –
Alors pour la dernière course
On mit dans le fourgon la bande à Bonnot!
LA BANDE À BONNOT
Paroles: Jean–Michel Rivat et Frank Thomas, musique: Joe Dassin À la Société Générale
Une auto démarra, et dans la terreur
La bande à Bonnot mit les voiles,
Emportant la sacoche du garçon payeur
Dans la De–Dion–Bouton qui cachait les voleurs –
Octave comptait les gros billets et les valeurs,
Avec Raymond–la–Science, les bandits en auto –
C'était la bande à Bonnot.
Les banques criaient "Misérables"
Quand s'éloignait le bruit du puissant moteur...
Comment rattraper les coupables
Qui fuyaient à toute allure, à trente–cinq à l'heure?
Sur les routes de France, hirondelles et gendarmes –
Étaient à leurs trousses, étaient nuit et jour en alarme,
En casquettes à visière, les bandits en auto –
C'était la bande à Bonnot.
Mais Bonnot rêvait des palaces et du ciel d'azur de Monte–Carlo.
En fait il voulait vite se ranger des voitures...
Mais un beau matin la police
Encercla la maison de Jules Bonnot
À Choisy avec ses complices,
Il prenait dans sa chambre un peu de repos...
Tout Paris arriva, à pied, en tramway, en train –
Avec des fusils, des pistolets et des gourdins,
Hurlant des balcons, les bandits en auto –
C'était la bande à Bonnot.
Et menottes aux mains –
Tragique destin –
Alors pour la dernière course
On mit dans le fourgon la bande à Bonnot!