Paroles – Guidoni – Drugstore, dix–huit heures
Jean Guidoni
DRUGSTORE, DIX–HUIT HEURES
Paroles: Pierre Philippe, musique: Thierry Matioszek Je trouve ça, comment dire, d'un goût épouvantable...
Pour l'Occident chrétien, cher ami, nous luttons!
Tu veux rester là ou tu veux changer de table?
Craignez pour le dollar un retour de bâton
Elles sont en pur croco garanti véritable
J'ai faim, avant minuit je dois faire un micheton
Avez–vous, là–dessus, lu le billet du "Monde"?
Ouais, le clip vidéo sera l'art de demain
Garçon! Elle est à quoi votre coupe Rosemonde?
J'ai dit, pour Gorbakine, je signe des deux mains.
Je n'ai que vingt–quatre ans, je ne suis pas encore immonde
Et malgré ça j'ai faim, j'ai faim, que c'est pas humain.
Un pull sublime, je te dis, chez Machin, Rue de Rennes
Non, je l'avais déjà vu en projection privée.
Le chef–d'oeuvre d'Aragon reste "Le Con d'Irène"
N'importe quoi, n'importe qui, je veux pas encore crever
"Salut Bonsoir Alors beauté, on se promène?"
Il est vieux, il est moche, c'est le client rêvé.
Dans une coupe de champagne, un petit doigt de gin
Simplement insensé, le dernier Guidoni!
Très audacieuse, dis–donc, la déchirure du jean
C'est pour que nul n'ignore que partout t'as bruni
Pendant le festival, à Cannes, comme j'imagine?
L'Etna, c'est moi – lui dis–je – et ma peinture, ma lave.
Avec tes ch
DRUGSTORE, DIX–HUIT HEURES
Paroles: Pierre Philippe, musique: Thierry Matioszek Je trouve ça, comment dire, d'un goût épouvantable...
Pour l'Occident chrétien, cher ami, nous luttons!
Tu veux rester là ou tu veux changer de table?
Craignez pour le dollar un retour de bâton
Elles sont en pur croco garanti véritable
J'ai faim, avant minuit je dois faire un micheton
Avez–vous, là–dessus, lu le billet du "Monde"?
Ouais, le clip vidéo sera l'art de demain
Garçon! Elle est à quoi votre coupe Rosemonde?
J'ai dit, pour Gorbakine, je signe des deux mains.
Je n'ai que vingt–quatre ans, je ne suis pas encore immonde
Et malgré ça j'ai faim, j'ai faim, que c'est pas humain.
Un pull sublime, je te dis, chez Machin, Rue de Rennes
Non, je l'avais déjà vu en projection privée.
Le chef–d'oeuvre d'Aragon reste "Le Con d'Irène"
N'importe quoi, n'importe qui, je veux pas encore crever
"Salut Bonsoir Alors beauté, on se promène?"
Il est vieux, il est moche, c'est le client rêvé.
Dans une coupe de champagne, un petit doigt de gin
Simplement insensé, le dernier Guidoni!
Très audacieuse, dis–donc, la déchirure du jean
C'est pour que nul n'ignore que partout t'as bruni
Pendant le festival, à Cannes, comme j'imagine?
L'Etna, c'est moi – lui dis–je – et ma peinture, ma lave.
Avec tes ch