Paroles – La Gamic – El tiempo pasa (Le temps court)
La Gamic
EL TIEMPO PASA (LE TEMPS COURT)
Le temps court, court suit le même parcours.
On s'empresse de vivre jour après jour.
Le temps court, court ainsi va la vie...
Chaque nuit depuis, je prie pour votre répit.
Comme par magie le ciel couvrit la terre
Depuis des millénaires je travaille sur un champs de bataille.
J'ai laissé l'homme approcher, apprivoiser mes secrets,
Dès les premiers contacts je savais ce qu'il envisageait.
Pour ajouter une corde à mon arc, j'ai brouillé les cartes
Caché la clé dans un tiroir de ma mémoire.
Totalement désarmé face à mes forces et mon envergure,
L'homme s'est juré d'être à la mesure, sûr!
Avec le temps, ce jeu de cache–cache à couté cher.
Des forêts entières rasées par sa colère
Et pour son plaisir à jouer les guerriers, prédire le future.
Course contre la montre, homme versus la nature.
Image obscurcie dénudant ses entrailles,
La médaille voit ses deux facettes tiraillées.
Déchiré par le spectacle qui s'offre à moi,
J'ai le coeur coincé entre l'espoir et le désarroi.
La vie m'a révélé que l'indulgence, plus que l'inclémence
Mène tout droit l'homme à la bienfaisance.
C'est à tord que l'on confond pouvoir et liberté de mon côté
L'homme en a fait assez, m'a fait baver, je rends mon tablier si
L'équili
EL TIEMPO PASA (LE TEMPS COURT)
Le temps court, court suit le même parcours.
On s'empresse de vivre jour après jour.
Le temps court, court ainsi va la vie...
Chaque nuit depuis, je prie pour votre répit.
Comme par magie le ciel couvrit la terre
Depuis des millénaires je travaille sur un champs de bataille.
J'ai laissé l'homme approcher, apprivoiser mes secrets,
Dès les premiers contacts je savais ce qu'il envisageait.
Pour ajouter une corde à mon arc, j'ai brouillé les cartes
Caché la clé dans un tiroir de ma mémoire.
Totalement désarmé face à mes forces et mon envergure,
L'homme s'est juré d'être à la mesure, sûr!
Avec le temps, ce jeu de cache–cache à couté cher.
Des forêts entières rasées par sa colère
Et pour son plaisir à jouer les guerriers, prédire le future.
Course contre la montre, homme versus la nature.
Image obscurcie dénudant ses entrailles,
La médaille voit ses deux facettes tiraillées.
Déchiré par le spectacle qui s'offre à moi,
J'ai le coeur coincé entre l'espoir et le désarroi.
La vie m'a révélé que l'indulgence, plus que l'inclémence
Mène tout droit l'homme à la bienfaisance.
C'est à tord que l'on confond pouvoir et liberté de mon côté
L'homme en a fait assez, m'a fait baver, je rends mon tablier si
L'équili