Paroles – lorsque_
Nelson Minville
LORSQUE L'AUTOMNE
N. Minville
Lorsque l'automne
Descend la rue
Je vois des hommes
Qui n'en sont plus
Sur la terre qui tourne à regret
Ils marcheront pieds nus
Sur la terre qui tourne à regret
Ils marcheront pieds nus
Trop lourds de larmes
Les tabliers
Dorment les femmes
Sur les planchers
Sur la terre qui tourne à regret
Elles tenteront d'oublier
Sur la terre qui tourne à regret
Elles tenteront d'oublier
Calcutta
Qu'est–ce que t'as ce soir
Que font ces enfants là
Endormis sur tes trottoirs
Calcutta
Qu'est–ce que t'as ce soir
Que font ces enfants là
Endormis sur les trottoirs
De Calcutta
Lorsque l'automne
Ferme les yeux
Les vierges entonnent
Des chants d'adieux
Dans des cales qui bercent à regret
Elle prieront pour les vieux
Dans des cales qui bercent à regret
Elle prieront pour les vieux
Calcutta
Qu'est–ce que t'as ce soir
Que font ces enfants là
Endormis sur tes trottoirs
Calcutta
Qu'est–ce que t'as ce soir
Que font ces enfants là
Endormis sur les trottoirs
De Calcutta
Lorsque l'automne
Tombe à genoux
Mon corps frissonne
D'être debout
Sur la terre qui tourne à regret
Sur la terre de Vishnu
Sur la terre qui tourne à regret
Sur la terre de Vishnu
Calcutta
Qu'est–ce que t'as ce soir
Que font ces enfants là
Endormis sur tes trottoirs
Calcutta
Qu'est–ce que t'as ce soir
Que font ces enfants là
Endormis sur les trottoirs
De Calcutta
De Calcutta