Paroles – Michel Sardou – Tous les bateaux s'envolent
Aux démons se mélangent.
Naufragé corps et âme,
Je le suis, je le sais,
De la beauté des femmes.
On ne revient jamais
Dans un an,
Dans dix ans,
A la même heure, au même endroit,
Je m'entendrai redire :
"Elle est belle à mourir."
Comme si c'était la première fois.
Les voiles des bateaux
De toutes les couleurs
S'étalent sur les eaux.
L'océan est en fleur
Sur ton corps endormi.
Mes mains, perdues d'avance,
Remontent à l'infini
Comme un jeu d'impatience,
Mais dans la liqueur bleue
De ton regard étrange,
Les démons ténébreux
Aux amours se mélangent,
Naufragé corps et âme,
Je le suis, je la sais,
De la beauté des femmes,
On ne revient jamais.
Dans un an,
Naufragé corps et âme,
Je le suis, je le sais,
De la beauté des femmes.
On ne revient jamais
Dans un an,
Dans dix ans,
A la même heure, au même endroit,
Je m'entendrai redire :
"Elle est belle à mourir."
Comme si c'était la première fois.
Les voiles des bateaux
De toutes les couleurs
S'étalent sur les eaux.
L'océan est en fleur
Sur ton corps endormi.
Mes mains, perdues d'avance,
Remontent à l'infini
Comme un jeu d'impatience,
Mais dans la liqueur bleue
De ton regard étrange,
Les démons ténébreux
Aux amours se mélangent,
Naufragé corps et âme,
Je le suis, je la sais,
De la beauté des femmes,
On ne revient jamais.
Dans un an,