Paroles – Moustaki – Nini
Georges Moustaki
NINI
Lorsque Nini la reine o prenait l'accordéon pour nous jouer les Marlène
En y mettant le ton a ça noyait toutes les peines de tous les vagabonds
Au fond de sa rengaine au creux de ses jupons
Lorsque Nini la douce faisait du sentiment
Il y avait des secousses dans tous les palpitants
Et les mots de sa bouche étaient si caressants
Que même les plus farouches y croyaient un instant
Lorsque Nini la belle vous faisait les doux yeux
Des milliers d'étincelles illuminaient les cieux
Par toutes les ruelles rappliquaient les curieux
Qui rendaient grâce a Dieu
En frôlant ses dentelles
Lorsque Nini s'est tue une larme a coulé
Personne n'y a cru et tous on rigolé
Sa chanson s'est perdue, ses beaux yeux on pleuré
Et pas un seul n'a su que c'était pour de vrai
Vas–y Nini que ta chanson ne soit jamais finie
Vas–y petite soeur on te renverras l'ascenseur
Vas–y Nini encore Nini
NINI
Lorsque Nini la reine o prenait l'accordéon pour nous jouer les Marlène
En y mettant le ton a ça noyait toutes les peines de tous les vagabonds
Au fond de sa rengaine au creux de ses jupons
Lorsque Nini la douce faisait du sentiment
Il y avait des secousses dans tous les palpitants
Et les mots de sa bouche étaient si caressants
Que même les plus farouches y croyaient un instant
Lorsque Nini la belle vous faisait les doux yeux
Des milliers d'étincelles illuminaient les cieux
Par toutes les ruelles rappliquaient les curieux
Qui rendaient grâce a Dieu
En frôlant ses dentelles
Lorsque Nini s'est tue une larme a coulé
Personne n'y a cru et tous on rigolé
Sa chanson s'est perdue, ses beaux yeux on pleuré
Et pas un seul n'a su que c'était pour de vrai
Vas–y Nini que ta chanson ne soit jamais finie
Vas–y petite soeur on te renverras l'ascenseur
Vas–y Nini encore Nini