Paroles – Souchon – Poulailler's song
Alain Souchon
POULAILLER'S SONG
Paroles: Alain Souchon, musique: Laurent Voulzy, 1977 Dans les poulaillers d'acajou
Les belles basses–cours a bijoux
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion
Ils disent:
On peut pas être gentil tout le temps
On peut pas aimer tous les gens
Y'a une sélection c'est normal
On lit pas tous le même journal
Mais comprenez–moi, c'est une migraine
Tous ces campeurs sous mes
Mais comprenez–moi, c'est dur a voir
Quels sont ces gens sur mon plongeoir
Dans les poulaillers d'acajou
Les belles basses–cours a bijoux
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion
Ils disent:
On peut pas aimer tout Paris
N'est–ce pas y'a des endroits la nuit
Ou les peaux qui vous font la peau
Sont plus bronzées que nos petits poulbots
Mais comprenez–moi, la djellaba
C'est pas ce qui faut sous nos climats
Mais comprenez–moi, a Rochechouart
Y'a des taxis qu'ont peur du noir
Dans les poulaillers d'acajou
Les belles basses–cours a bijoux
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion
Ils disent:
Que font ces jeunes assis par terre
Habilles comme des traîne–misère
On dirait qu'ils n'aiment pas le travail
Ça nous prépare une belle pagaille
Mais comprenez–moi, c'est inquiétant
Nous vivons des temps décadents
Mais comprenez–moi, le respect se perd
Dans les usines de mon grand–père
Mais comprenez–moi, la djellaba
C'est pas ce qui faut sous nos climats
Mais comprenez–moi, a Rochechouart
Y'a des taxis qu'ont peur du noir
Mais comprenez–moi, c'est une migraine
Tous ces campeurs sous mes persiennes
POULAILLER'S SONG
Paroles: Alain Souchon, musique: Laurent Voulzy, 1977 Dans les poulaillers d'acajou
Les belles basses–cours a bijoux
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion
Ils disent:
On peut pas être gentil tout le temps
On peut pas aimer tous les gens
Y'a une sélection c'est normal
On lit pas tous le même journal
Mais comprenez–moi, c'est une migraine
Tous ces campeurs sous mes
Mais comprenez–moi, c'est dur a voir
Quels sont ces gens sur mon plongeoir
Dans les poulaillers d'acajou
Les belles basses–cours a bijoux
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion
Ils disent:
On peut pas aimer tout Paris
N'est–ce pas y'a des endroits la nuit
Ou les peaux qui vous font la peau
Sont plus bronzées que nos petits poulbots
Mais comprenez–moi, la djellaba
C'est pas ce qui faut sous nos climats
Mais comprenez–moi, a Rochechouart
Y'a des taxis qu'ont peur du noir
Dans les poulaillers d'acajou
Les belles basses–cours a bijoux
On entend la conversation
De la volaille qui fait l'opinion
Ils disent:
Que font ces jeunes assis par terre
Habilles comme des traîne–misère
On dirait qu'ils n'aiment pas le travail
Ça nous prépare une belle pagaille
Mais comprenez–moi, c'est inquiétant
Nous vivons des temps décadents
Mais comprenez–moi, le respect se perd
Dans les usines de mon grand–père
Mais comprenez–moi, la djellaba
C'est pas ce qui faut sous nos climats
Mais comprenez–moi, a Rochechouart
Y'a des taxis qu'ont peur du noir
Mais comprenez–moi, c'est une migraine
Tous ces campeurs sous mes persiennes