Paroles – Vartan – Jamais
Sylvie Vartan
JAMAIS
1962 J'habitais un beau pays
Où j'ai laissé tous mes amis
Le temps passe et je ne peux oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
Je suis partie aussi loin
Sans croire un seul instant
Que je quittais à jamais
Tout ce que j'aimais
J'y ai laissé le printemps
Et mes amours de quinze ans
Mais toi, je sais, que
Toujours tu m'attends
Je suis triste j'ai le coeur gros
De ce pays que j'aime beaucoup trop
Le temps passe et je ne peux oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
Et je ne reviendrai,
Ce pays où je ne reviendrai
Ce pays où je ne reviendrai jamais.
Le vent m'apportait ses plus belles chansons
Quand il venait souffler sur ma maison
Le temps passe et je ne peux oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
Je rêve d'un beau jour
Que je serai de retour
Et que je pourrai
Tout recommencer
Retrouver le printemps
Et mes amours de quinze ans
Et toi, et toi, toi toujours tu m'attends
Mais hélas, c'est bien fini
J'ai adieu à mon beau pays
Le temps passe et je ne peur oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
JAMAIS
1962 J'habitais un beau pays
Où j'ai laissé tous mes amis
Le temps passe et je ne peux oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
Je suis partie aussi loin
Sans croire un seul instant
Que je quittais à jamais
Tout ce que j'aimais
J'y ai laissé le printemps
Et mes amours de quinze ans
Mais toi, je sais, que
Toujours tu m'attends
Je suis triste j'ai le coeur gros
De ce pays que j'aime beaucoup trop
Le temps passe et je ne peux oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
Et je ne reviendrai,
Ce pays où je ne reviendrai
Ce pays où je ne reviendrai jamais.
Le vent m'apportait ses plus belles chansons
Quand il venait souffler sur ma maison
Le temps passe et je ne peux oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais
Je rêve d'un beau jour
Que je serai de retour
Et que je pourrai
Tout recommencer
Retrouver le printemps
Et mes amours de quinze ans
Et toi, et toi, toi toujours tu m'attends
Mais hélas, c'est bien fini
J'ai adieu à mon beau pays
Le temps passe et je ne peur oublier
Ce pays où je ne reviendrai jamais