Paroles – Zébulon – Marie–Louise
Zébulon
MARIE–LOUISE
Y paraît que ça fait vingt ans qu'elle a pas pris un bain
Que ses sous–vêtements se sont soudés sur ceux d'avant
Y paraît qu'elle a des gales sur ses jambes
Et pis qu'a les donnerait à manger à ses soixante–dix–sept chats
Pour qu'y vivent éternellement
Cet écoeurant
Marie–Louise
La vieille femme du village est victime de commérages
Je sais pas si c'est vrai, je sais pas si c'est vrai, va donc savoir l'histoire de Marie–Louise
Pis y paraît aussi que ça sent le pipi pis le vieux vomi
Quand a t'arrête pour te de mander quelle heure qu'y peut être
Y paraît qu'a mange de la bouffe pour les chats
Et pis qu'est pareille à vieille sorcière dans fanfreluche
Petite hutte, patte de poule, cours petite, cours, cours, cours...
Paraît qu'un de ses chats est si féroce et si vorace
La nuit y faut l'enfermer dans une cage de brass
Y paraît que c'est un énorme matou
Quand y'est en diable, y saute au corps, y saute au cou
Y peut griffer jusqu'à la mort de celui qui ose s'aventurer
Près du décor
De Marie–Louise
La vieille femme des moulins a fait placoter ses voisins
Moé c'est me sieur le curé qui me l'a conté y a tellement de oui–dire
Sur Marie–Louise
Marie–Louise
La vieille femme du village est victime de commérages
Je sais pas si c'est vrai, je sais pas si c'est vrai, va donc savoir l'histoire de Marie–Louise
Y paraît que ça fait vingt ans qu'elle a pas pris un bain
Que ses sous–vêtements se sont soudés sur ceux d'avant
Y paraît quand l'ambulance est arrivée ils l'ont rentrée à l'hôpital
Ils l'ont pognée, ils l'ont trempée dans le mazout
Comme une vieille poêle enduite de croûte
Ah oui, je l'aurai dans la mémoire longtemps
Marie–Louise a rendu l'âme
Sa carapace était pus là pour la protéger de la rapace
Marie–Louise
La vieille fille des moulins c'est ben de valeur a s'est éteint
C'est monsieur le curé qui me l'a contée, va donc savoir l'histoire de Marie–Louise
MARIE–LOUISE
Y paraît que ça fait vingt ans qu'elle a pas pris un bain
Que ses sous–vêtements se sont soudés sur ceux d'avant
Y paraît qu'elle a des gales sur ses jambes
Et pis qu'a les donnerait à manger à ses soixante–dix–sept chats
Pour qu'y vivent éternellement
Cet écoeurant
Marie–Louise
La vieille femme du village est victime de commérages
Je sais pas si c'est vrai, je sais pas si c'est vrai, va donc savoir l'histoire de Marie–Louise
Pis y paraît aussi que ça sent le pipi pis le vieux vomi
Quand a t'arrête pour te de mander quelle heure qu'y peut être
Y paraît qu'a mange de la bouffe pour les chats
Et pis qu'est pareille à vieille sorcière dans fanfreluche
Petite hutte, patte de poule, cours petite, cours, cours, cours...
Paraît qu'un de ses chats est si féroce et si vorace
La nuit y faut l'enfermer dans une cage de brass
Y paraît que c'est un énorme matou
Quand y'est en diable, y saute au corps, y saute au cou
Y peut griffer jusqu'à la mort de celui qui ose s'aventurer
Près du décor
De Marie–Louise
La vieille femme des moulins a fait placoter ses voisins
Moé c'est me sieur le curé qui me l'a conté y a tellement de oui–dire
Sur Marie–Louise
Marie–Louise
La vieille femme du village est victime de commérages
Je sais pas si c'est vrai, je sais pas si c'est vrai, va donc savoir l'histoire de Marie–Louise
Y paraît que ça fait vingt ans qu'elle a pas pris un bain
Que ses sous–vêtements se sont soudés sur ceux d'avant
Y paraît quand l'ambulance est arrivée ils l'ont rentrée à l'hôpital
Ils l'ont pognée, ils l'ont trempée dans le mazout
Comme une vieille poêle enduite de croûte
Ah oui, je l'aurai dans la mémoire longtemps
Marie–Louise a rendu l'âme
Sa carapace était pus là pour la protéger de la rapace
Marie–Louise
La vieille fille des moulins c'est ben de valeur a s'est éteint
C'est monsieur le curé qui me l'a contée, va donc savoir l'histoire de Marie–Louise